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LE COLLEGE COMMEMORE LE 80ème ANNIVERSAIRE DE LA FIN DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE

Par Celine Michel-Berthe, publié le mercredi 21 mai 2025 21:01 - Mis à jour le mercredi 21 mai 2025 21:01
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Ce jeudi 8 mai 2025, rendez-vous était donné aux Fidésiens devant la Mairie pour commémorer la fin de la Seconde guerre mondiale. Cette commémoration avait une saveur particulière car il s’agit du 80ème anniversaire de cet événement, clôture d’une guerre qui, en six ans, a causé la mort de près de soixante millions de personnes, parmi lesquelles une majorité de civils. Le parc de Sainte-Foy-l’Argentière étant en réfection, la commémoration s’est tenue sur le parvis de la Mairie où beaucoup de Fidésiens, parmi lesquels des anciens combattants, mais aussi de nombreux élèves du collège et le Conseil Citoyen des Jeunes (CCJ), se sont réunis par une belle matinée ensoleillée

Mme Berger, Maire de Sainte-Foy-l’Argentière, ouvre la cérémonie par un dépôt de gerbe assuré par le CCJ au pied du monument aux morts. Malgré les travaux, elle a tenu à maintenir cette tradition. Puis, des membres du CCJ, mais aussi des collégiens volontaires ont lu l’appel aux morts, chaque nom étant suivi du traditionnel hommage « Mort pour la France » entonné en chœur par l’assistance.

Après une minute de silence, les Sans-Soucis Fidésiens ont joué une éclatante Marseillaise sous le garde-à-vous des pompiers, des gendarmes et du policier municipal nouvellement recruté par la Commune

À la fin de la commémoration, les Sans-Soucis ont joué trois morceaux de leur nouveau répertoire, avant de reprendre la Marseillaise avec l’assistance. Enfin, Mme Berger a invité l’assistance et les organisations présentes à partager le verre de l’amitié sous la halle à côté de la Mairie. Encore une fois, le collège s’est distingué par le nombre d’élèves présents, en particulier les élèves de 6 ème et de 5ème qui ont dignement représenté l’établissement. À l’heure où le devoir de mémoire est plus que nécessaire avec la disparition progressive des témoins directs de ces événements traumatiques, la relève semble assurée